Vous arpentez le quartier des chambres des résidents, à la recherche de quelque chose pour tromper votre ennui. Vous vous arrêtez devant chacune des portes, jusqu'à parvenir à la fin du couloir, où se place une dernière porte, ou plutôt un rideau de lianes fleuries, comme sorties de nulle part, qui masquaient une entrée. Votre curiosité vous pousse à entrer et vous vous trouvez dans l'herboristerie d'une claustrophobe, c'est-à-dire une pièce inondée de lumière grâce aux murs qui n'étaient que des vitres. Vous admirez un moment la vue magnifique qu'offre cette petite pièce garnie d'un unique comptoir derrière lequel vous pouvez apercevoir l'entrée d'une annexe bien plus grande que la pièce dans laquelle vous vous trouvez. Vous décidez de braver l'interdit en passant de l'autre côté du comptoir et explorez les nombreuses niches regorgeant de plantes et de contenants en tout genre, il y en a une qui contient quelques livres. Ne pouvant résister à l'appel de votre curiosité, vous profitez de l'absence de la propriétaire pour vous approcher et en dégager un qui semble caché par les autres, d'une apparence curieuse: la couverture est faite de feuilles d'arbres d'un vert qui montre qu'elles ne sont pas mortes, ce qui semble étrange au vu de la poussière qui macule le journal. A votre contact, la couverture champêtre vire au rouge... Une mise en garde?