C'est vrai que pour rester cohérent avec notre univers, on est obligé de considérer que nous n'exportons pas beaucoup d'arbres d'une région à l'autre. Seule solution : les graines. Se limiter à cinq arbres fruitiers exploitables dans une région aussi restreinte et dans une économie aussi jeune ne me semble donc pas si exagéré que cela. Combien de types d'arbres fruitiers cohabitent ainsi en générale à l'état sauvage ? Est-ce que vraiment, dans la nature, quand on ne touche à rien, on peut observer une dizaine d'arbres fruitiers différents rassemblés au même endroit ?

On peut d'avantage s'éclater du côté des petites plantes, genre framboisiers, et plus encore dans les légumes (liste ? liste ?).

Et puis le choix pommes, noix, chataîgners, noisetiers, poiriers sauvages, ne me semble pas si mal !

Pour la céréale, de façon arbitraire, j'aime le riz. C'est nourrissant et on peut faire plein de choses avec : du riz tout simple, de la farine de riz, du riz au lait, des pains de riz, de l'alcool de riz (quelqu'un a déjà goûté du saké ?), ...

Merci Thadd' !! Donc la soie d'araignée revient au Petit Peuple (ce qui leur va vachement mieux qu'à nous) et on reste donc sur la confirmation de l'élevage d'une bestiole donnant laine et ivoire. Inspirés du bestiaire : à vos crayons... euh claviers !

On reste bien cohérents avec le débat, le résultat me plait.
Deux céréales : lin et riz, toutes deux à fort potentiel puisque l'une se décline en textile et l'autre est, d'un point de vue comestible, pleine de ressources et de diversité.
Pour les arbres : pommiers, poiriers, noisetiers, châtaigniers, ça nous donne deux farines supplémentaires et des fruits que l'on peut décliner en alcool si besoin. Conjecturons-nous qu'il y avait déjà des noyers dans le coin ?
Pour les buissonnant : framboises et myrtilles, c'est simple et parfait. On élargira au cours du temps sur d'autres fruits des bois tout aussi savoureux (je pense aux fraises, mures, cassis, etc.)
Légumes : carottes, potimarrons, ça fait peut et léger non ? L'ajout de la patate me semble un minimum. Je comprends que l'on écarte par exemple les tomates (trop fragiles pour un début d'agriculture) mais pensez qu'il faut tenir toute l'année avec ça. Dans le même genre, nous avons le topinambour et le rutabaga.

Le miel est adjugé depuis longtemps.

Reste la question du papier. Je reste convaincue que l'indépendance d'Orzaal passe par sa production personnelle de papiers, instrument d'éducation indispensable. Que dire aussi de l'encre ?

Côté herbes médicinales : la menthe ? La question des épices se posent aussi : gingembre par exemple, possible ou pas ?

PS : Au fait, peut-être devrions-nous créer quelque part dans la bibliothèque un sujet sur Orzaal pour mettre au propre les décisions prises un peu partout à son sujet (je pense aux plans - du village et du Manoir - au texte énorme de la bibliothèque qui apprécierait d'être fragmenté pour plus de légèreté et les résultats des débats du présent sujet).

Tu approuves certes, mais pourrais-tu nous éclairer de quelques idées ? Concernant les plantes médicinales et les épices par exemple ? Ou bien le sujet de la conception d'encre et de papier ? Ou l'ajout du topinambour et rutabaga à la liste des légumes cultivés ? Ou la présence antérieure de noyers ?

Ahem les gars, ce débat est hors sujet. A rediriger dans le bestiaire.

Sinon faire du papier avec des feuilles me plait bien comme idée (si c'est possible bien sûr... bon après bien sûr faut imaginer !) mais moins avec les poils de notre pseudo-cerf-mouton. Ce serait un peu gâcher la laine que de la transformer en pâte à papier contrairement aux feuilles mortes.